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FINAL
FANTASY II
l’histoire se
déroule dans un monde où la paix est troublée par l’empire
Paramekian qui cherche à obtenir le pouvoir absolu (note : comme tout
méchant qui se respecte). La Terre est envahie de monstres qui
sont envoyés par ce dernier pour empêcher toute opposition à leurs
projets. Les parents de 4 jeunes adolescents, Frioniel, Maria, Guy et
Lionheart, sont alors tués et ces jeunes personnes ne vont alors
vivre que pour faire cesser les agissements de l’empire Paramekian.
Lorsque vous débutez le jeu, vous êtes rapidement attaqué par un
groupe de chevalier noir. Malheureusement trop faible, le combat est
inégale et s’achève rapidement. Vous vous réveillez alors dans
une chambre où un mage vous explique qu’il a pris soin de vous
après vous avoir trouvé. Vous retrouvez rapidement vos compagnons
(enfin presque…) dans la ville d’Athéa. Le point de départ
d’une aventure qui s’annonce longue et passionnante, où
l’entente et l’amitié seront de puissant allié face à un ennemi
qui semble invincible… A première
vue, Final II sur Wonder Swam Color n’est pas vraiment
différent de son aîné, après tout, il utilise le même moteur
graphique et le même gameplay de base. En revanche, on peut parler de
changement radical en ce qui concerne les personnages et d’une vrai
intrigue par rapport au précédent épisode. Où Final I utilise des personnages sans personnalité avec
lesquels le joueur accompli des quêtes pour être mené vers le
combat final, son successeur porte l’accent sur les personnages, qui
ont un nom, une personnalité particulière et dont certains conflits
entre ces derniers permettent d’avancer dans le scénario. Pour la
première fois, à l’époque, nous étions confrontés à des
personnages qui semblaient plus vivant, plus proche de nous par
rapport aux autres jeux du genre. L’originalité de FFII tient du fait qu’il n’existe pas de
points d’expérience à proprement parler. Les personnages
augmentent leurs capacités durant les combats selon le type
d’action effectuée. Par exemple, si vous attaquez souvent avec
votre arme, vous augmenterez rapidement votre attaque, si en revanche
vous utilisez souvent la magie. De ce fait, les combats deviennent beaucoup
plus tactiques et il ne suffit pas d’attaquer l’ennemie aveuglément,
on peut vraiment parler d’un entraînement. Les personnages pourront
également récolter des mots de passe pour déclencher de nouveaux événements…
Alors que l’interface
basique est rester intacte, Final II peut se vanter d’avoir eu droit à
des suppléments pour ce qui est du système, une tendance qui
commence à devenir essentiel pour les RPG modernes.
en ce qui concerne le style de l’interface général mais des temps
d’accès plus rapide, les changements de statut des personnages
visible pour l’achat d’une arme ou bien d’une armure ou encore
aussi la possibilité d’acheter plus d’un item à la fois seront
les quelques petites améliorations qui ne feront qu’apporter plus
de confort. Les graphismes bénéficient d’un lifting d’une qualité
proche de celle de Final IV. Lors des
combats, le background noir propre à la version super nintendo a été
remplacé par des décors. cette version bien que la différence soit difficilement
perceptible (Mais c’est une console portable voyons!).

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